Tests de Fines Fuite Hélium de Haute Sensibilité HSHLD® (High Sensitivity Helium Leak Detection)
ORS déterminera la taille de vos fuites
ORS utilise un instrument Haute Sensibilité « HSHLD® modèle 310 » (High Sensitivity Helium Leak Detector) pour la détection des Fines Fuites Hélium pour qualifier votre produit aux dernières exigences en matière de taux de fuite.
Les tests HSHLD® sont capables de fournir les données de test de FINE et GROSSE fuite en une seule séquence de test. Les dispositifs sont généralement préconditionnés dans une chambre sous pression et, une fois les conditions requises remplies, le taux de fuite est mesuré et enregistré.
Caractéristiques:
- Hélium gaz traceur
- Plage de pressurisation: 30 à 95 psia (2 à 6.5 bars absolus)
- Limite de détection minimale: <1 · E-12 atm·cc/s Hélium
- Méthode de mesure: test par lots ou lecture et enregistrement
- Mil-Std 750 TM-1071 condition H1, H2 et H3
- Mil-Std 883 TM-1014 condition A1, A2 et A5
- Mesures R1 précises vérifiées par un étalonnage linéaire en 2 points.
- Aucun fluorocarbone requis
Utilisez notre outil de calcul interractif Equation Howl-Mann pour déterminer le critère de rejet R1 en fonction de vos paramètres de pressurisation.
Les tests d’herméticité de l’hélium peuvent être modifiés pour répondre aux exigences de test de votre appareil. Nous avons aidé de nombreux clients à créer un plan de test de fuite personnalisé en fonction de leurs besoins.
Fuite fine étendue pour d’autres gaz et composés
Des tests de fuite spécialisés sont disponibles pour déterminer les taux de fuite de gaz autres que l’hélium. Les taux de fuite de divers gaz (c’est-à-dire l’argon, le CO2, l’acide acétique, l’éthylène glycol, etc.) peuvent être mesurés à de faibles taux de fuite en utilisant un spectromètre de masse spécialisé réglé pour la substance d’intérêt particulière. Les normes applicables sont normalement disponibles dans une large gamme de taux de fuite.
ORS utilise un ensemble de techniques pour mesurer les grosses fuites et les fines fuites des boitiers hermétiques. Un test de fines fuites satisfaisant indique que le boîtier est hermétique, ou bien qu’il existe une fuite très grosse ! il est donc recommandé l’effectuer un test de grosses fuites après le test de fines fuites. Il est essentiel de s’assurer de l’herméticité des boîtiers hermétiques pour éviter les problèmes de contamination, d’instabilité électrique et de défaillance.
Tests de Fines Fuites
ORS propose des tests de fines fuites suivant la Mil-Std-883 Test Method 1014 conditions A1 et C1, Mil-Std-750 Test Method 1071 conditions H1 et C, Mil-Std-202 Test Method 112 conditions C, D, A et E, et s’adapte aux requêtes des clients. Le test peut aussi être effectué suivant la Telcordia GR-1221-CORE et GR-468-CORE pour les boîtiers passifs et actifs.
Les tests de fines fuites sont utilisés pour localiser les fractures dans les scellements hermétiques et peuvent être utilisé pour vérifier l’intégrité des scellements et évaluer le processus de scellement des boîtiers hermétiques.
La plupart du temps, les boîtiers sont pré-conditionnés sous une forte pression d’hélium (bombing). Toutefois, certains boîtiers incluent de l’hélium dans l’atmosphère de scellement et n’ont pas besoin de bombing. Les atomes d’hélium sont petit et passent facilement au travers des chemins de fuite du boîtier. Lorsque l’hélium s’échappe du boîtier par ces chemins de fuite, sont intensité est mesurée, ce qui permet le calcul du taux de fuite.
Il est possible d’effectuer des tests de fuite à l’aide d’autres gaz traceur. ORS a déjà valider l’utilisation d’Argon, de Dioxyde de Carbone et d’Acide Acétique pour les tests de fines fuites par spectrométrie de masse.
Tests de Grosses Fuites
Les tests de grosses fuites fonctionnent très différemment des tests de fines fuites. Le test commence par une phase de bombing où le boîtier est plongé dans un fluorocarbonne de faible température d’ébullition (fluide détecteur). Sous l’effet de la pression, le fluide détecteur pénètre par les chemins de fuite.
Après la phase de bombing, le boîtier est submergé dans un bain d’un autre fluorocarbonne dont le point d’ébullition est plus élevé ‘(fluide indicateur). Le bain est maintenu à 125°C, de sorte que si du fluide détecteur a pénétré dans la cavité du boîtier durant le bombing, il se vaporise rapidement et génère un train de bulles au niveau du chemin de fuite.
Dans certains cas, le boîtier peut être directement plongé dans le fluide indicateur, sans bombing préalable.